Les polluants présents dans l’atmosphère et l’hiver très rigoureux qui bat son plein ont percé un nouveau trou dans la couche d’ozone au-dessus de l’Arctique, si bien que les météorologues craignent qu’au printemps, le soleil n’endommage encore davantage l’ozonosphère.
Dans le cadre du protocole de Montréal adopté en 1989, les pays concernés ont réussi à diminuer considérablement les émissions de composés organiques riches en brome et en chlore susceptibles de nuire à l'ozonosphère, ce qui a permis de "repriser" plusieurs trous dans la couche d'ozone.
Selon le magazine science News, le processus s'avère être plus lent que prévu et certaines substances continuent à s'accumuler dans l'atmosphère, si bien que de nouveaux trous apparaissent chaque hiver au-dessus de l'Arctique.
Images LNP
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